The Twang
LOVE IT WHEN I FEEL LIKE THIS
“Il y a un peu plus d’un mois, une démo de trois chansons due à un groupe de Birmingham injustement méconnu appelé The Twang a atterri sur notre bureau. C’était une collection de chansons qui ont mis le feu au plus profond de nos âmes. Le genre d’enregistrement qui nous rappelait pourquoi ce putain de rock ‘n’ roll était, est, et sera toujours, la plus grande forme d’expression humaine a jamais avoir existé.” – NME, Novembre 2007
Phil Etheridge – chant
Saunders – chant
Jon Watkin – basse
Stu Hartland – guitare
Matty Clinton – batterie
La fin de l’année 2006 a donné lieu à un de ces moments particuliers qui se produit parfois sur la scène musicale anglaise. Inconnu jusqu’au mois d’octobre, un groupe de cinq musiciens appelé The Twang était, en décembre, le sujet de discussions animées dans les pages du NME, dans les forums des sites d’une centaine de groupes et dans les départements artistiques d’à peu près toutes les maisons de disque d’importance en Angleterre, tandis que leurs démos passaient à la BBC sur Radio One en plein milieu de la journée. Après avoir profité de quelques très agréables dîners aux frais de la princesse et avoir rempli son carnet d’adresses avec les noms de tous les personnages importants de la musique britannique, The Twang a signé avec B-Unique en décembre 2006 et a commencé à enregistrer des morceaux pour son premier album.
“Il a l’attitude d’un Liam Gallagher et le charme d’un Tom Meighan. Maintenant, Phil Etheridge et son groupe The Twang sont prêts à figurer parmi les nouvelles stars les plus prometteuses de 2007” THE SUN
Phil Etheridge et Jon Watkin, en grandissant à Quinton, près de Birmingham, sont tombés très jeunes amoureux de la musique. Comme la dance music faisait des ravages en Angleterre à l’époque où ils n’étaient encore que de jeunes adolescents, les deux garçons se sont détournés des guitares jusqu’à l’arrivée d’un groupe aux origines proches des leurs, enraciné dans une communauté, passionné de football, amoureux de l’idée du rock ‘n’ roll et très éloigné des prétentions ‘artistiques’ d’une scène musicale londonienne nombriliste. Quand ils ont entendu Oasis pour la première fois, l’idée de former leur propre groupe a pris possession d’eux. Saunders a été rallié à ce rêve par l’intermédiaire d’amis, alors que l’idée commençait à prendre forme, suivi par Matty Clinton, un super batteur et une potentielle star du rock’n’roll. Pourtant, tout cela n’a vraiment eu de sens que quand Stu Hartland, un garçon possédant un talent unique pour faire sonner sa guitare comme plusieurs à la fois, a rejoint le groupe, il y a environ deux ans. C’est ainsi qu’est né The Twang en 2004 et que ce nouveau groupe fort de cinq membres, dont deux chanteurs, s’est mis à donner des concerts dans sa région. Avec littéralement rien d’autre à faire, rien sur quoi se concentrer, aucune autre solution pour gagner leurs vies, les musiciens de The Twang ont réussi à marier un dévouement farouche les uns pour les autres et pour leur groupe et une tendance à tirer le plus de plaisir possible de chaque concert.
“S’il n’y a qu’un seul nom dont il faut se souvenir dans toutes ces listes de nouveaux groupes du mois de janvier, soyez sûrs que c’est The Twang : cinq hooligans baggy de Birmingham qui connaissent par cœur les hymnes arrogants de gradins de stades de foot, la poésie des fêtes durant 24 heures et la touche mélodique divine des frères Gallaghers” UNCUT
Dès le début, les potes du groupe se sont assurés que ses concerts deviennent des événements délirants et The Twang s’est rapidement fait un nom dans les Midlands. En octobre 2006, lors d’un concert décisif au Bar Academy de Birmingham, James Jam, le journaliste du NME et Edith Bowman de Radio One étaient dans le public. Le fait que James ait placé le groupe dans le ‘NME stereo’ (il y figurera trois fois) et la description par Edith de ce concert dans son émission ont attiré l’attention de l’industrie musicale et ont fait de leur premier single, prévu en mars 2007, un disque extrêmement attendu.
Et la nouvelle année est arrivée. Soutenu par tout le monde, du NME à Q, par la direction musicale de Radio One, qui le programmait déjà, étalé sur la couverture du supplément spectacle de The Sun et annoncé par tous les autres personnages clés de l’industrie comme le groupe a suivre cette année, tout porte à croire que 2007 va devenir la meilleure année que les cinq garçons aient jamais connue.
Tout au long de cette véritable tempête, le groupe a continué à faire ce qu’il fait le mieux, c’est à dire donner des concerts avec des formations comme The View, The Charlatans et The Sunshine Underground en plus de ses propres shows en tête d’affiche, de plus en plus fêtés. Aujourd’hui en studio, The Twang travaille à la vitesse de la lumière à traduire tout ça en un lot de chansons qui constituera ce premier album tant attendu, avant de prendre la route en février pour sa première tournée parcourant toute l’Angleterre, qui a tout pour devenir un des événements majeurs de l’année 2007.
“Et The Twang sera le plus grand groupe populaire de rock’n’roll débridé de 2007, c’est plus fort qu’eux, n’est-ce pas? Après tout, ce genre de chose arrive, tout simplement.” NME