Nouveau single « Nobody »

Avez-vous pris le temps, cette semaine, de laisser votre esprit s’égarer ? D’accepter que tout évolue et que rien n’est figé et déterminé. Vous êtes-vous déjà accordé un moment sans aucune limite, aucune contrainte ? C’est dans cet état d’esprit que le groupe FRAUDS s’imagine, là où tout est possible.
À peine exposée avec leur premier titre “Come Slowly”, leur électropop séduit déjà : Le célèbre label Kitsuné, connu pour son flair, les sélectionne en mai dernier pour figurer dans sa compilation “Parisien IV”.

Leur premier EP « Ellipse » est une odyssée dans un monde entièrement imaginé par FRAUDS duquel ils nous envoient les plus fortes émotions ressenties et les plus beaux sons perçus. Les synthés analogiques et la voix au timbre si mystérieux, parfois presque susurrée, s’entremêlent et se répondent dans un dialogue intemporel. L’association d’ambiances spatiales, de rythmes dansants et de tonalités oniriques s’impose comme leur signature artistique. Sorti en novembre dernier il donne vie à une série de vidéos réalisées par le groupe lui même. Elles sont un clin d’œil au photographe Grégory Crewdson, dont le travail est de sublimer chaque détail de la vie quotidienne et l’instant présent.

Ces émotions, c’est aussi sur scène que le groupe les ressent pleinement et les transmet. L’enthousiasme du public lors de leurs premières dates : au Bus Palladium, au Pop-up du label, aux Trois Baudets ou à l’espace Malraux en témoigne. Début mars, ils sortent « Nobody », titre autobiographique et explosif, et s’offrent une scène lors du prochain Printemps dans la ville, dans le cadre du concours organisé par Spinnup, Kisskissbankbank et Universal.
FRAUDS aime puiser son inspiration à la fois dans des émotions douces, tendres que dans la folie. Les notes d’une belle mélodie les transportent tout autant qu’une danse folle. Ils aiment créer de la musique mais aussi des belles images. Cette personnalité multiple leur donne parfois une impression d’imposture, mais ils restent vrais et sincères, c’est d’ailleurs leur seule règle.