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José Gonzalez

VENEER

Jos-Gonzalez

Agé de 25 ans, José Gonzalez est une star montante scandinave qui a désormais le monde à ses pieds. Générant l’enthousiasme d’innombrables critiques ainsi que le respect des professionnels de la musique, les premières apparitions de José ont directement hissé son premier single dans le Top Ten suédois. Il est actuellement perçu comme étant «The next big thing » émergeant de Gothenburg dans le sillage de Soundtrack Of Our Lives– quoique la musique de José soit nettement plus intime et en contraste avec un rock suédois beaucoup plus sociable qui s’exporte à l’heure actuelle.

 

Se fiant simplement à son éloquent et magistrale jeu de guitare classique et mêlant une voix pleine d’assurance à d’émouvants morceaux de choix, José crée un univers sans pareil d’un charme irrésistible. Ses mélodies poignantes et ses paroles provocantes – toutes chantées dans un anglais parfait et clair – se combinent instantanément d’une manière familière (Nick Drake, Tim Buckley, Will Oldham) et exotique (nuances tropicales brésiliennes, flamenco, ainsi que de surprenants vestiges du tango des Pampas). De ses sources disparates, José nous a fait découvrir une signature propre et unique qui nous enchante.

 

Né en 1978, José fut élevé dans une maison baignée de différents styles musicaux. Son père, également chanteur et pour qui le goût naturel pour la musique latino-américaine rivalisait de plaisir avec la pop américaine et la pop classique anglaise; eut un effet tel que l’éclectisme flirtait désormais avec son jeune fils ; de son enfance, José se souvient : « nous avions une guitare à la maison avec laquelle je jouais ». « Un été mon père m’a donné un épais livre jaune remplis d’accords des Beatles et un autre des classiques de bossa nova. J’ai passé tout l’été à sélectionner et jouer des chansons. C’est ainsi que j’acquis les bases ».

 

Passés ses flirts des premiers jours, José poursuivit sa voie, au début en jouant de la basse dans Big Black, un groupe inspiré des punks Back Against a Wall, avant de flirter avec le groupe hardcore Gothenburg’s Renascence et de plonger dans l’indie rock avec l’incroyable son d’Only If You Call Me Jonathon. Cependant, ces rites de passage l’ont justement ramené à la guitare classique, et, après des cours de flamenco, les débuts d’un style très personnel en ont émergé. « J’aimerais que la guitare soit plus qu’un instrument » nous révèle-t-’il, « J’ai interprété de la musique classique pendant quelque temps, ainsi que du flamenco. Le flamenco est spécial dans son toucher et son rythme, souvent doté d’une sensation monotone. Lorsque je joue de la guitare : c’est souvent un mixe de toutes ces influences: bossa nova, Beatles, flamenco et classique ».

 

Vocalement, José admet s’être appropriées les tonalités familières de piliers de la musique comme: Chet Baker, Eliot Smith, Geoff Farina et par dessus tout celles de Jason Molina de Song’s Ohia. Il aime également faire remarquer les influences positives qui lui ont été insufflées en écoutant des artistes aussi disparates que Cat Power, Tortoise et Joy Division.

 

Bien qu’il eut une édition limitée d’un single en solo (collector) sortie depuis 2001 (ainsi qu’une autre de la même année du groupe Junip de Gothenburg), la carrière discographique de José a réellement débuté de manière sérieuse en 2003 avec le succès de «Crosses». Ce disque sortira en France via Discograph et sera suivit d’un album début 2005.

 

Ce serait sans doute une hyperbole de dire que José Gonzalez est prêt à séduire les oreilles du monde entiers, bien qu’il soit de notoriété publique que les groupes suédois ont ce genre d’effet à l’export…

 

www.jose-gonzalez.com