Chloé Mons
PAR LA RIVIÈRE
Par la rivière, le nouvel album de Chloé Mons (sortie juin 2009) trouve sa singularité, son étrangeté (prisdans son sens noble, à savoir la rareté) dans ce mélange (sincère car vécu) de BlueGrass, de country et de punk. Par la rivière,est un album sous tension. Le ukulele, comme un fil dénudé (électrique, magnétique ?) tendu, distendu, comme un pont(en cordes)…, nous emmène par delà, nous déporte nous transporte, d’une rive à l’autre, du début à la fin… Chloé Mons écriten Anglais, écrit en Français, les deux langues se confondent, l’une comme l’écho de l’autre, naturellement, commeun double battement synchronisé.
Par la rivière est réalisé avec toute l’attention et l’électricité de Yann Pechin.
BIOGRAPHIE
Née en 1972 à Lille, Chloé Mons grandi dans une familleéclectique où lerock’n’roll et l’art contemporain sont très présent.En 1994, à Paris, après des études d’Art dramatique au Conservatoireet une maîtrise de Cinéma, elle passe de petits rôles surgrand écran à ses cahiers d’écriture et de chansons qui ne laquittent pas.En 2002, Elle enregistre le Cantique des cantique avec sonmari Alain Bashung.
En 2006, ce sont deux disques qui paraissent : Chienne d’unSeul, en solo — La Ballade de Calamity Jane, albumqu’elle définit comme un « film sonore », et où Rodolphe Burger etAlain Bashung répondent à l’invitation. En 2009, après une série de concerts entre la France, les USA et l’Angleterre, où elleest seule avec son Ukulele et ses distorsions, elle publie Par la Rivière.Parallèlement, elle collabore régulièrement avec des artistes, des photographes ou des cinéastes, le visuel étant pour elleessentiel à sa musique.
PRESSE
« Chloé occupe l’espace sonore avec une présence et une force saisissantes. Elle est un mélange totalement original de puissance brute et de poésiesophistiquée qui fait corps avec un accompagnement musical minimaliste dont l’intensité et le relief sont à sa mesure. » Francoise Hardy
« ChloéMons n’est pas seulement la muse égérie de mon ami et chanteur préféré. Elle est cette voix qui a su donner chair à l’un des plus beaux chants d’amourqui soient, le cantique des cantiques. Elle est cet ange punk qui n’a jamais froid aux yeux et est partante pour toutes les aventures, de Sarajevo auNevada, armée désormais de son seul ukulélé. Ne vous fiez pas trop à sa blondeur resplendissante : don’t forget, her name is Calamity ! »
Rodolphe Burger
« Une crinière blonde abrite un chant revenu d’un long voyage. Celui qui n’oublie rien des recoins de la violence des sentiments. Si un jour vouscroisez le blues de Chloé Mons, vous aurez la preuve d’un fort signe de vie »
Alain Bashung
« Elle est souvent seule sur scène, blonde, ne souritpas et joue d’un uke-Dobro rouge. Parfois elle chante comme Karen Dalton. En fait, elle me fait penser a Nancy Spungen. Qui, elle, ne chantait pas. Et Je n’y peux rien, c’est ainsi. Toutes les deux, parait-il, sont ou furent de méchantes filles. Et c’est très bien ainsi »
Patrick Eudeline
« À Chloé Mons. Qu’elle ne se lave pas pendant 3 jours Qu’elle cache du chocolate sous ses draps c’est comm’ça que jeu la vois Fée… comm ‘Marilyn, ne change pas. »
Christophe